En conclusion, pour éviter l’hyponatrémie…
1.Il faut que le cerveau sécrète de l’ADH de façon adaptée (osmorécepteurs, hypothalamus et hypophyse en état de marche.
2. Il faut des canaux collecteurs efficaces
(récepteur V2 de l’ADH fonctionnel, pas de toxicité
spécifique de cet épithélium comme dans la néphropathie au lithium…)
3. Il faut que les apports hydriques ne dépassent pas la capacité de dilution urinaire.
Il faut donc une quantité suffisante d’osmoles ingérées en cas de volume hydrique important
(> 60 mOsm/litre ingéré)
